cheval

Il était fougueux et intrépide

Cher cheval, moi le cavalier qui parcourt les monts de sable à la recherche de ma destinée, je te sens tel un destrier sans peur et sans reproche. Mon cheval voit tout dans la simplicité alors que je ne le comprends qu’après l’avoir monté.

Souvent intrépide, parfois sportif comme un coureur de fond, peureux mais docile, malgré tout gentil avec une humeur qui force le respect.

 Beau et élancé, tu as été le premier a relier les homes sédentaires. Alors une envie de s’évader nous prend et nous te montons.

File plus vite que le vent et oublie nous !

J’ai parcouru les dunes de sable avec toi. Plus fougueux que toi il me prie l’envie de te tester...

Las, je m’en mords les doigts, je suis un cavalier du dimanche...

Cascadeur mais compréhensif, il faut te maîtriser. Tu m’as donc déposé sur le sable. Mais tu n’es pas un chameau, car les chameaux n’aiment pas galoper. J’ai donc chuté et tu m’en as voulu, tu as pris peur pour moi.

J’ai chevauché le lendemain pour montrer que j’étais bien présent. Le consul m’as remis sur le pas. Après avoir négocié un trot, c’est bien au galop que je me suis mis. C’est tellement beau de se voir au galop !